Emprunter de l’argent coûte aussi de l’argent», nous rappelle-t-on inlassablement. Mais dans certains cas, emprunter peut être avantageux. «Lors de l’achat d’une résidence secondaire à l’étranger, l’acheteur doit toujours se poser la question de savoir s’il vaut mieux ou non emprunter. Même si ce type d’achat se fait souvent à un âge plus avancé et que les acheteurs disposent pour la plupart de fonds suffisants», explique Wim Vermeulen, avocat chez Cazimir. Dans ce cas, l’avantage fiscal n’est pas le seul critère déterminant. «Ceux qui achètent à l’étranger doivent aussi prendre en considération l’impôt sur la fortune et la planification successorale», poursuit-il.
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